L’équipe française derrière ADPG, c’est un ensemble de bénévoles dévoués à faire vivre les idéaux du Père Guézou et à aider à développer les projets qu’il avait entrepris. Nous lançons une série de portraits pour vous présenter les coulisses françaises du fonctionnement de l’association.
Premier portrait : Gilles Conesa.
Depuis quand es-tu dans l’association ?
Je suis membre actif depuis 1990, et président depuis 2021.
Comment le Père Guézou t’a-t-il inspiré ?
L’œuvre du Père Guezou m’a marquée dans ma jeunesse. Il était la bonté même, le don de soi poussé à son maximum. Je l’ai vu agir avec les enfants en Inde, ayant une attention pour chacun, même si il a scolarisé des milliers d’enfants dans ses écoles et centres de formation. A la suite d’un voyage en Inde en 1990, j’ai décidé de parrainer un enfant… et de continuer l’action du Père Guézou depuis 34 ans maintenant.
Qu’est-ce qui te pousse à t’investir dans cette association en particulier ?
Chez ADPG, on tente de scolariser un enfant par famille pour qu’il ait un métier à terme et donc un salaire qu’il partagera alors avec sa famille… Aider un enfant, c’est souvent sortir toute une famille de la pauvreté. Par exemple, mon filleul (38 ans aujourd’hui) est devenu électricien et a pu financer une maison en dur (et non plus en terre et paille) pour ses parents lépreux. Lors de chacun de mes voyages depuis 1990, j’ai pu constater les améliorations, les progrès de niveau de vie… mais on est encore loin d’avoir fini l’œuvre du Père Guézou !
A suivre dans les prochaines communications, les portraits des responsables trésorerie, communication, suivi de projets etc !