Nous poursuivons notre série de portraits pour vous présenter en coulisses les bénévoles français qui permettent à l’association de fonctionner.
Quand et comment as-tu rencontré le Père Guézou ?
Comme Gilles, notre Président, j’ai connu les Amis du Père Guézou par une conférence à Neuilly-sur-Seine de Léon Duhayon, celui qui a tant fait pour l’association. Cela nous a incités, ma femme Elisabeth et moi, à aller voir sur place, ce que nous avons eu la chance de pouvoir faire tous les deux en 1988 puis l’année suivante avec nos 3 enfants.
Comment le Père Guézou t’a-t-il inspiré ?
Le Père Guézou m’a marqué par sa disponibilité et son attention pour chacun, son sens pratique qui lui a permis de répondre à tant de besoins et son souci premier : laisser chaque adulte sur place donner le maximum de ses possibilités pour qu’il se sente reconnu et rémunéré pour son travail plutôt qu’assisté. Sans parler bien sûr de sa joie communicative dès qu’il pouvait être au milieu des enfants.
Quel est ton rôle dans l’association ?
Et qu’est-ce qui te pousse à t’investir dans cette association en particulier ? Je suis depuis de longues années trésorier de l’association et chargé du suivi des relations par mail avec les donateurs. C’est une association qui me tient particulièrement à cœur par la qualité et le sérieux des projets mis en œuvre, en particulier pour les enfants. Et AdPG a pour moi un atout majeur, celui de n’être animé que par des bénévoles, ce qui permet de transférer en Inde (et au Sri Lanka) l’intégralité des dons reçus, ce que je n’ai retrouvé dans aucune autre association.